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De plus en plus de jeunes filles suédoises se retrouvent dépendantes des sites internet sociaux comme Facebook ou Bilddagboken au point de sécher l'école.
Ces sites deviennent la priorité numéro 1 pour ces jeunes.
L'organisme Stiftelsen Ungdomsvård de Stockholm qui étudie la dépendance au jeu vidéo des jeunes garcons et des hommes a remarqué cette tendance montrant que les filles ont une autre forme de dépendance, celle des sites sociaux.
De plus en plus de jeunes filles et de parents les contactent pour parler de ce problème.
Le but est de ne rien manquer, d'être toujours au fait du dernier post, mais c'est aussi une recherche pour savoir si les autres approuvent. C'est un stress de groupe ou les filles sentent qu'elles doivent faire partie de ces sites.
La dépendance peut pousser à manquer les cours pour consulter ces sites. Parfois les ordinateurs portables sont emportés à l'école et les jeunes sont connectés pendant les cours.
Le problème est quand cela devient la priorité numéro 1.
Néanmoins, il n'y a pas de consultation pour ce problème, mais des cet organisme se prépare en essayant de voir l'étendu du problème.
Source:
Article Journal Suédois Aftonbladet "Unga tjejer beroende av sociala sajter"
Ces sites deviennent la priorité numéro 1 pour ces jeunes.
L'organisme Stiftelsen Ungdomsvård de Stockholm qui étudie la dépendance au jeu vidéo des jeunes garcons et des hommes a remarqué cette tendance montrant que les filles ont une autre forme de dépendance, celle des sites sociaux.
De plus en plus de jeunes filles et de parents les contactent pour parler de ce problème.
Le but est de ne rien manquer, d'être toujours au fait du dernier post, mais c'est aussi une recherche pour savoir si les autres approuvent. C'est un stress de groupe ou les filles sentent qu'elles doivent faire partie de ces sites.
La dépendance peut pousser à manquer les cours pour consulter ces sites. Parfois les ordinateurs portables sont emportés à l'école et les jeunes sont connectés pendant les cours.
Le problème est quand cela devient la priorité numéro 1.
Néanmoins, il n'y a pas de consultation pour ce problème, mais des cet organisme se prépare en essayant de voir l'étendu du problème.
Source:
Article Journal Suédois Aftonbladet "Unga tjejer beroende av sociala sajter"
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